
Le burn-out n’est pas une faiblesse, ni une fatalité.
C’est un appel profond à l’écoute de soi, souvent précédé par des mois, voire des années, de suradaptation silencieuse.
Ce n’est pas qu’un problème professionnel.
C’est un épuisement global – du corps, de l’esprit, du cœur – provoqué par un stress chronique auquel on s’est adapté trop longtemps.
Les causes sont multiples : un traumatisme non digéré, une hypersensibilité ignorée, des relations toxiques, une grossesse ou une parentalité intense, une alimentation inflammatoire, un rythme de vie effréné…
Dans une société qui nous pousse à faire toujours plus, notre corps finit par dire STOP.
Et les symptômes apparaissent : fatigue inexpliquée, douleurs chroniques, brouillard mental, vertiges, troubles du sommeil, prises ou pertes de poids, perte de sens, effondrement émotionnel.
On ne comprend plus ce qu’il se passe. On se sent seule, incomprise, parfois même invisible.
Mais derrière cette détresse, une question fondamentale se pose :
Qu’est-ce que mon corps ne veut plus tolérer ?
À quoi refuse-t-il de continuer à se suradapter ?
🌙 J’ai traversé cette nuit moi aussi.
Et ce que j’en ai compris, c’est que le burn-out n’est pas une fin, mais une invitation à renaître.
À ralentir, à faire du tri, à revenir à ce qui est essentiel.
À réapprendre à s’écouter, profondément, sincèrement.
💧 L'accompagnement commence là :
– Remettre du lien entre le corps et les émotions.
Chaque symptôme est un message. Il ne s’agit pas de le faire taire, mais de le comprendre.
– Rééquilibrer le corps en douceur.
L’alimentation joue un rôle clé. Réduire les sucres, les excitants, les aliments acidifiants apaise le système nerveux, diminue l’inflammation et soutient la clarté mentale.
– Explorer les racines du mal-être.
Injonctions, schémas familiaux, croyances limitantes, mémoires enfouies : tout ce qui nous pousse à nous suradapter peut être transformé.
– Se reconnecter à soi.
Revenir au corps, au silence, à ses besoins profonds. Redécouvrir ce qui nourrit vraiment. Ne plus chercher à rentrer dans une norme qui nous épuise.
Oui, le chemin est long, parfois flou, souvent inconfortable.
Mais il est aussi profondément libérateur.
Et je te le dis avec le cœur :
👉 "Peu importe la longueur de la nuit, le jour vient toujours."
Si tu te sens concernée, sache que tu n’es pas seule.
Je t’accompagne, pas à pas, vers un espace plus doux, plus aligné, plus vivant.
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